Qu’est-ce que l’hirsutisme ?
0Avoir des poils partout peut-être un choix, mais aussi une maladie, surtout pour les femmes. Nous allons parler de l’hirsutisme, cet excès de poils qui poussent dans chaque coin. Et même si les poils sont-là pour lutter contre les caprices de la nature, s’ils sont de trop, ils nuisent, et c’est un grand problème.
Une histoire des poils
Les poils sont un sujet confus et plein de complexité, mais qui méritent d’être soulevé. Premièrement, les poils se forment à l’intérieur de la peau, ce sont des cellules mortes qui sortent. Donc, d’une certaine manière, pour entretenir cette lignée des cellules humaines, il est plus judicieux de se dépiler. Alors, c’est plus logique que les poils repoussent, car les nouvelles cellules se produisent également en harmonie avec nos hormones.
Suite à l’anatomie humaine, un homme dispose d’un pourcentage hormonal femelle et masculine, à l’âge de la puberté, le développement hormonal sexuel entre en jeu. Tout dépend de la croissance de la personne, mais pour les femmes ayant une accélération de production d’ovaires, les poils s’offrent en abondance, et il est très difficile de ressembler à ses mannequins dans les magazines. Avoir des excès de poils chez une femme est une maladie, on la nomme hirsutisme, qui se traite merveilleusement bien, et d’ailleurs, ce lien vous en parle et vous propose le meilleur produit à adopter, accompagné des astuces utiles.
On vit avec nos poils, mais pas en excès
Ce ne sont pas seulement les femmes qui ont de problème envers eux-mêmes et son entourage, pour cette question de poussée de poils en abondance. On découvre 2 parties pour la vie d’un poil, que l’on dicte médicalement par anagène et télogène. Jusqu’à 40 ans, nos cheveux n’arrêtent pas de pousser, et nos poils également. La phase anagène commence à l’âge de puberté jusqu’à l’âge adulte, et c’est un peu long comme période, alors que c’est l’âge dynamique où on s’active pour mériter nos beaux jours.
Dans certains cas, et surtout pour les femmes, les poils poussent un peu trop vite et dans des endroits qui ne sont pas familiers. Une femme avec des barbes, des poils sur le cou, aux torses, aux bras et jambes, le dos, le maillot et les cuisses, sont vue comme des singes, oui, c’est fort, mais c’est le terme plus approprié. On constate que 3 % des femmes ont cette maladie d’hirsutisme, et plusieurs l’observent après sa ménopause. Une femme poilue n’est pas tellement convenable aux yeux de la société, mais c’est aussi pénible comme situation.
Eradiquer les poils définitivement
C’est vrai que beaucoup des femmes optent pour la réconciliation avec les poils. Pour les hommes, c’est excitant de les voir poilus et un peu sauvages avec la barbe bien entretenue comme les stars, tandis que pour les femmes, il y a de la honte dans le regard, et aussi ce n’est plus très convenable à notre époque. Auparavant, on tolère les poils contre les fantaisies des insectes, puisque la nature est encore bien touffue, mais avec l’évolution, les insectes nuisibles ont été éradiqué, donc ce n’est plus la peine de vivre avec les poils.
En plus, on ne peut s’empêcher de transpirer et la sueur mélangée avec les poils accentuent les mauvaises odeurs qui feront fuir. Et puis, c’est un peu difficile de se laver non ! On est d’accord pour les cheveux qui protègent la tête, pareillement pour les sourcils qui protègent les yeux, mais tout cela affine notre look, n’est-ce pas les filles. Et c’est encore plus déconcertant, vu que maintenant l’été s’approche à grand-pas, et un corps à toison sous les bikinis, c’est la galère !!!
On peut bien traiter l’hirsutisme par une consultation médicale qui vous procure un test complet de pilosité, avec la surveillance de vos hormones sexuelles. On peut bien choisir les produits d’épilation adéquats comme le « Vaniqa », mais aussi les appareils dépilatoires idéals, et la bonne manière de s’épiler avec une bonne attitude quotidienne.